Selon l’étude de Criteo « Value of Clickers » :
- Un internaute qui clique sur une bannière achète 3 fois plus souvent qu’un internaute qui ne clique pas.
- Au moins 50% des acheteurs réguliers sont des cliqueurs.
- 20 % des internautes sont à l’origine de 50 % des clics et de 50% des ventes.
- Plus les internautes cliquent, plus ils achètent.
Critéo le leader mondial de la publicité Display à la performance, publie ce jour une étude intitulée « Value of clickers ». Cette étude a été réalisée début mars 2012 par son département Business Intelligence et se fonde sur l’analyse de plus de 11 Mds de dollars de transactions réalisées en ligne. Criteo établit un lien fort entre les internautes qui cliquent et ceux qui achètent, en démontrant pour la première fois que le clic est l’expression authentique d’une intention d’achat et non pas un simple « accident », comme certains travaux de recherche antérieurs l’ont suggéré. Il est étonnant que les « cliqueurs », pourtant considérés comme essentiels en Search Engine Marketing, n’aient jusqu’à présent jamais été considérés comme pertinents pour le display.
Cette étude démontre que les « cliqueurs » ont une valeur réelle en display, et ce, surtout pour les annonceurs qui souhaitent générer des ventes. », affirme Pascal Gauthier, COO de Criteo. «Cette étude réalisée à grande échelle prouve que les « cliqueurs » achètent plus souvent que les « non cliqueurs », et que plus un utilisateur clique, plus il achète. » ajoute-t-il.
Au cours des dix dernières années, deux formes de publicité ont émergé : le SEM (Search Engine Marketing) et le Display. Dans le cas du search, où Google génère à lui seul plus de 40 Mds de dollars de recettes annuelles*, seul le clic compte et les annonceurs ne sont facturés que si l’internaute clique sur le lien publicitaire, preuve de son intérêt pour cette annonce. À l’inverse, l’industrie du display – qui représente aujourd’hui 33 Mds de dollars de dépenses annuelles – considère, faute d’un taux de clic significatif, que l’impact d’une campagne display doit se mesurer en fonction de l’exposition des internautes aux bannières.
C’est ainsi que l’étude « Whither the Click » publiée chaque année par Comscore depuis 2008 tend à démontrer que les cliqueurs forment une minorité et qu’ils ne constituent pas le coeur de cible des annonceurs.« Les professionnels du marketing estiment à tort que les personnes qui cliquent sur les bannières sont rares et que celles qui le font ne font pas partie des cibles à privilégier.», déclare Patrick Wyatt, responsable du département Business Intelligence chez Criteo. « Nos découvertes ont été surprenantes et remettent en cause la pluparts des mythes qui planaient jusqu’ici sur le display. »
- Mythe n°1 : « Les internautes qui cliquent sur les bannières n’achètent pas. » En réalité, un internaute qui clique sur une bannière achète 3 fois plus souvent qu’un internaute qui ne clique pas.
- Mythe n°2 : « Plus personne ne clique sur les bannières. »En réalité, près de la moitié des acheteurs réguliers cliquent sur les seules bannières Criteo.
- Mythe n°3 : « Un petit nombre d’internautes sont responsables d’un très grand nombre de clics. » En réalité, 20 % des internautes sont à l’origine de 50 % des clics et de 50 % des ventes.
- Mythe n°4 : « Les internautes qui cliquent souvent sur les bannières n’achètent que rarement. » En réalité, plus les internautes cliquent, plus ils achètent.
Criteo est le leader mondial du display à la performance. Grâce à l’expertise de Criteo, les annonceurs peuvent toucher plus de clients avec un ROI comparable à celui du search. Chaque jour, Criteo génère des millions de contacts de haute qualité grâce à des bannières dynamiques et personnalisées avec les produits et services que les consommateurs recherchent. Les solutions Criteo se mesurent uniquement sur la performance post-clic et offrent un modèle au coût par clic (CPC), avec des optimisations par catégorie de produits via des enchères en temps réel.