- Du "Téléconsommateur" au "téléconsommacteur"
- Les téléspectateurs français champions du multitasking
- Au carrefour de la social TV et du social shopping : Shozap.tv
- Facilitateur de shopping devant sa TV
Concept innovant de « social shopping », SHOZAP.TV est le premier outil collaboratif qui permet de faire le lien entre les programmes TV, les marques qui y sont visibles et les e-commerçants – en direct !
La robe de Daphné Burki, les chaussures de B. dans Gossip Girl ou la lampe design de D&CO : les émissions de TV fourmillent de produits et d’idées, offerts aux regards séduits de consommateurs qui ne demandent qu’à acheter ce qu’ils voient, mais ignorent où les trouver.Parti de ce constat, Mickaël Royer a créé Shozap.tv : un site collaboratif qui se propose de guider le téléspectateur depuis son canapé vers les e-boutiques, pour qu’il y trouve instantanément l’article sur lequel il vient de flasher en regardant son émission ou sa série préférée.Depuis toujours (au cinéma d’abord, et depuis 2010 à la télévision) les marques travaillent avec les sociétés de production, afin de placer leurs produits sur les plateaux et dans les séries diffusées à la télévision, et leur donner une visibilité maximum.
Une technique de promotion qui ne comporte pourtant pas que des avantages : il est par exemple compliqué de maîtriser les dates de passage à l’antenne (notamment pour les émissions TV), ou encore de mesurer le retour sur investissement de ces expositions médiatiques.
Et du point de vue du téléspectateur, pas simple d’identifier la robe de Daphné Burki, puis de trouver l’e-boutique où se la procurer…
Pourtant, aux Etats-Unis, toujours précurseurs en nouveaux business, le placement produit est devenu un vrai moyen publicitaire, représentant plus de 8 milliards de dollars dans le cinéma américain. Si l’Europe est encore loin du niveau des Etats-Unis qui ont une industrie cinématographique mondialement déterminante, propre à attirer les annonceurs de grande envergure, gageons que ce mode de communication devrait se développer dans les années à venir.
Du “Téléconsommateur” au “téléconsommacteur”
Les téléspectateurs français champions du multitasking
84 % d’entre eux regardent la TV tout en pratiquant d’autres activités, comme l’envoi de sms, la conversation au téléphone, ou même la lecture.
Et parmi ces « multitaskeurs », 31% naviguent sur Internet, 17% utilisent un réseau social, 15% recherchent des produits et services en ligne.
Mieux : 27 % des Français (dont 40% dans la tranche 18-34 ans) commentent régulièrement sur les réseaux sociaux les émissions qu’ils regardent !
C’est même devenu un sport national, le nombre de tweets autour de la télévision étant passé de 3 à 8,2 millions entre juin 2012 et juin 2013 , selon le cabinet NPA conseil.
Au niveau européen, le constat est le même : selon la régie mobile InMobi qui a interrogé 15 000 utilisateurs de terminaux mobiles dans 14 pays fin 2012, 62% des mobinautes (utilisateurs de l’Internet mobile) pratiquent le multi-écrans quand ils regardent la télévision, essentiellement pour consulter les médias sociaux (48%), communiquer par messagerie instantanée (46%), jouer en ligne ou écouter de la musique (30%). 18% recherchent des compléments d’information sur des produits vus à la TV. Les 20-34 ans sont les plus multi-taskers : 69% reconnaissent visionner plusieurs écrans à la fois.”
Au carrefour de la social TV et du social shopping : Shozap.tv
Au départ simple téléspectateur, l’internaute devient « téléconsommateur » : après avoir recherché sur la page d’accueil les programmes qui l’intéressent, il découvre quels articles y sont associés, où les trouver, et où les acheter, tout de suite.
Puis, à travers sa connexion Facebook ou Twitter, Shozap.tv lui donne la possibilité d’écrire un commentaire sur l’objet vu, et de l’adresser à tous ses amis ou followers.
Notre téléconsommateur passé au rang de « téléconsommActeur » génère un buzz qualifié et mesurable.
Facilitateur de shopping devant sa TV
Shozap.tv offre diverses possibilités de rendre visibles et identifiables les produits placés et vus dans les émissions ou les séries TV:
- cela peut être l’attachée de presse, la styliste ou le responsable marketing de la marque qui, avant la diffusion, inscrit le produit sur Shozap.tv, l’associe à l’émission ou à la série dans laquelle il va passer, et fournit un lien vers une e-boutique permettant de l’acheter.
- l’internaute lui-même, regardant en direct son programme favori, et y reconnaissant un produit, peut l’ajouter sur Shozap.tv, accompagné d’un lien pour l’achat et, s’il le souhaite, d’un commentaire sur les réseaux sociaux connectés.
- L’e-commercant qui met en vente sur son site ou sur Amazon, eBay, Priceminister un article vu dans une série ou une émission peut également l’ajouter dans Shozap.tv. Il bénéficie ainsi d’une augmentation du trafic visiteurs vers son site, d’une amélioration de son référencement et donc de ses ventes et de sa notoriété.
Cerise sur le gâteau : si le produit est mis en ligne et que celui-ci déclenche des ventes, Shozap.tv rétribue l’internaute à hauteur de 50% des sommes perçues dans le cadre de cette vente.
Il ne reste plus qu’à zapper, choisir son programme et acheter on-line depuis son canapé !
Lancé depuis quelques mois, le site Shozap.tv dispose désormais d’une version mobile, et ses créateurs mettent actuellement au point ses déclinaisons IOS-Apple et Androïd, afin de rendre encore plus accessible l’expérience « consommActeur », et favoriser la diffusion de l’information produit sur les réseaux sociaux.
En parallèle, une importante campagne de promotion se met en place pour développer la notoriété de Shozap.tv : liens sponsorisés, réseaux sociaux, relations presse, partenariats avec les sociétés de production et les e-marchands, communication vers les marques pour développer de futurs partenariats. « Depuis janvier, nous avons déjà multiplié par 5 les visites sur Shozap.tv », révèle Mickaël Royer, fondateur de Shozap.tv. « Il existe une vraie demande pour un site comme le nôtre, tant du côté des marques que des téléspectateurs. Nous sommes en droit d’espérer atteindre 10 000 visites par jour dans les prochains mois ».