A l’heure où Apple semble vouloir faire passer les montres et autres bracelets connectés dans une nouvelle dimension, en définissant à la fois de nouveaux usages et de nouvelles attentes au sein du grand public, les données de santé apparaissent plus que jamais comme une mine d’or susceptible de révolutionner le monde de la santé.
Les assureurs vont-ils vraiment ajuster les prix en fonction de l’hygiène de vie de l’individu ? Voire de son génome ?
Faudra-t-il justifier d’un bon patrimoine génétique pour obtenir un emprunt bancaire ?
Le cas échéant, de telles dérives pourraient-elle faire émerger des contre-pouvoirs ?
Cette transformation numérique du monde de la santé ne s’arrête pas à ces enjeux de vie privée mais constitue également une formidable opportunité : transformer une médecine curative en médecine préventive.
L’éditeur de solutions analytiques SAS peut témoigner de nombreuses initiatives de e-Santé très avancées en France et à travers le monde.
Le ministère de la santé en Nouvelle-Zélande utilise par exemple l’analytique pour étudier les malades du diabète, afin de comprendre les prédispositions de cette maladie et donc prévoir qui pourrait être touché.
En Norvège, l’hôpital Nordland s’appuie quant à lui sur l’analytique de SAS pour diminuer les risques d’incidents de traitement (comme les erreurs de médication, les infections nosocomiales…etc.)