- Un monde agricole en grande difficulté
- Entre 3 000 et 5 000 € d'économies par an pour les agriculteurs
L’INSEE vient d’annoncer que le revenu moyen des agriculteurs pourrait chuter de 26 % sur l’année 2016. Une catastrophe à laquelle s’ajoutent les mauvaises récoltes cette année et une détresse flagrante des agriculteurs.
Cette crise n’est pas une fatalité. Face aux problèmes des agriculteurs, des solutions existent, et la réponse n’est pas toujours institutionnelle : preuve en est l’initiative d’Agriconomie, qui permet aux agriculteurs de comparer les prix, et de pouvoir être un service d’aide à la décision pour les exploitants, sur l’achat de différents produits : les engrais, les semences ou encore les pièces de matériel. Une solution qui permet aux agriculteurs d’économiser jusqu’à 5 000 € par an… soit, par mois, l’équivalent du salaire moyen de 60% des agriculteurs français.
Un monde agricole en grande difficulté
L’année 2016 a été désastreuse pour l’ensemble du secteur agricole. Pour l’élevage, s’est ajoutée à la crise du secteur laitier en début d’année une crise sanitaire dans de nombreuses régions (fièvre catarrhale, retour de la grippe aviaire…). Pour les grandes cultures, les conditions climatiques ont entraîné de mauvaises récoltes. A cela s’ajoute un problème bien plus structurel dans le milieu agricole : la gestion des exploitations en fait de véritables entreprises, les normes sont contraignantes et les agriculteurs voient leurs revenus diminuer.
Un enjeu auquel Agriconomie a décidé de s’atteler il y a déjà deux ans. Aujourd’hui, l’entreprise chiffre les gains qu’elle permet de faire réaliser aux agriculteurs.
Entre 3 000 et 5 000 € d’économies par an pour les agriculteurs
Agriconomie a fait le pari de faciliter l’une des tâches des agriculteurs, en les conseillant dans leurs achats au quotidien en fonction de leurs besoins. Les prix des semences, des engrais ou encore des pièces de matériel peuvent être comparés en fonction des régions et les agriculteurs peuvent être conseillés par des spécialistes.
A fortiori, les agriculteurs peuvent par ces comparaisons et sur les conseils d’Agriconomie économiser entre 3 000 et 5 000€ par an. Hubert Couton, céréalier en Indre-et-Loire, rend compte de son expérience : « J’ai économisé à peu près 500 € par commande, soit 3 000 € à l’année ; financièrement, c’est très intéressant ».
Changer les habitudes d’achats dans le monde agricole, c’est le choix de ces fils d’agriculteurs qui connaissent les difficultés du métier.
Quels outils pour sauver les revenus des agriculteurs ?
A l’opacité des prix sur les matières premières qui perdurait jusqu’à présent sur les achats, Agriconomie apporte la clarté et la transparence des prix sur Internet. C’est un grand pas dans le monde agricole : Agriconomie permet désormais de comparer les prix proposés pour leurs différents achats de façon transparente.
Les économies se font notamment sur les semences et les engrais : un agriculteur peut économiser jusqu’à 2 à 3 € par tonne et par commande.
L’apport du conseil est aussi une clef pour permettre aux véritables chefs d’entreprise que sont les agriculteurs d’économiser et de gagner en efficience dans la gestion de leurs exploitations.
A propos d’Agriconomie
Fondée en 2014 par trois jeunes entrepreneurs issus du secteur agricole, Agriconomie est la première place de marché spécialisée dans les approvisionnements agricoles (semences, pièces, équipements, engrais…). Agriconomie est aussi membre de la Ferme digitale, l’association d’acteurs du monde agricole visant à créer la ferme de demain. Paolin Pascot, l’un des fondateurs d’Agriconomie, en est le Président.
Quelques données :
- Trois années d’existence
- Volume d’affaires prévisionnel juillet 2016/ juin 2017 : 20 millions d’euros
- Volume d’affaires juillet 2015 / juin 2016 : 7 millions d’euros
- 43 collaborateurs
- Plus de 6 200 clients
- Lauréate du concours d’innovation numérique initié par Axelle Lemaire et la French Tech, de Mercure HEC, ou encore de la Palme d’or du e-commerce.
- Elu meilleur site e-commerce dans la catégorie Espoir par la FEVAD